Uniflow est la technique de séparation des gouttes offrant une performance de 99,9 % dans l’obtention du gaz sec, utilisable avec tous les frigorigènes. La conception unique du séparateur horizontal de gouttes garantit une vitesse de flux régulière du gaz à sécher. Ce flux uniforme veille à ce que le gaz soit véritablement sec.
pendant longtemps, la technique de séparation se basait sur des modèles incertains, des moyennes et des hypothèses pour le calcul du moment de séparation. lire la suite.
Une goutte est séparée au moment où elle touche la « baignoire ».
Cette théorie part du principe qu’une goutte influencée par la force de gravité tombe à une vitesse Ut. La durée de la chute est définie par la hauteur de la chute, Hsep. (Durée de chute de la goutte = Hsep/Ut) La vitesse du gaz est Ug, la distance horizontale parcourue par la goutte avant que celle-ci ne soit incluse dans la surface liquide est Lsep. (La durée de séjour de la goutte est Lsep/Ug.) Sur la base de cette formule, vous devriez avoir retiré toutes les gouttes du gaz. Toutefois, le résultat est un gaz sec à 98 %. Donc 2 % de gaz humide.
suite à une étude sur la technique de séparation de gouttes classique, Prevesco a compris qu’un flux de gaz uniforme est nécessaire pour une séparation des gouttes efficace. À cet égard, il est important de savoir comment le gaz de retour se divise sur le segment gazeux. Nous avons développé un mécanisme de division qui ne nécessite pas d’entretien et qui veille à un flux gazeux uniforme. Ainsi la séparation des gouttes se fait 100 fois plus efficacement que dans les séparateurs de gouttes précédents. Cela signifie une humidité beaucoup moins dommageable dans le compresseur et une meilleure compression du gaz plus sec. Une efficacité doublement avantageuse.
pendant longtemps, la technique de séparation se basait sur des modèles incertains, des moyennes et des hypothèses pour le calcul du moment de séparation. Des modèles qui par ailleurs dépendaient fortement des limites du projet, des circonstances et du frigorigène utilisé. Par conséquent, le niveau de sécheresse du gaz n’atteignait jamais plus de 98 %. Le pourcentage d’humidité restant – de l’ampleur d’une averse de pluie – était la cause des dépôts continus sur l’installation. Pour un fonctionnement sûr, il fallait y incorporer un tas de garanties supplémentaires.